Carnet mondain: spécial journée contre le sida
Visitée dans sa maison de retraite-au-Canada
Bilan mitigé pour la canicule de Juillet puisqu'une fois encore elle a épargné Line Renaud. Comme chaque année, la fringante chanteuse essaie, au profit de la lutte contre le sida, de me refourguer un de ses anciens stérilets (voir en bas à droite de l'image).
Je rajoute ici deux croquis de l'époque où ils ont pu servir. C'est en noir et blanc. Forcément.
Carnet mondain: mes rencontres pipoles
Echouée sur une plage
Je la supplie en vain de se taire: Marianne James n'en finit plus d'improviser sur son dernier bide (et elle en a du bide): "Les pipoles, ils ont du poil aux giboles, ils mangent des ravioles, ils ont une coupe au bol"... A vous de continuer, moi je me suis évanoui dans les pommes.
Carnet mondain: mes rencontres pipoles
Croisé ce matin dans le Nord (c'était les corons)
Pierre Bachelet, le poète des terrils, le prophète qui chantait dans les années 80 "On posera nos valises / Nos cantines en fer / Sur un coin de banquise / Un coin de désert / Quand on aura vingt ans / En l'an 2001".
Raté. Y a plus de banquise. Plus de Pierre Bachelet non plus d'ailleurs.
Carnet mondain: mes rencontres pipoles
Carnet mondain: mes rencontres pipoles
Carnet mondain: mes rencontres pipoles
Carnet mondain: mes rencontres pipoles
Aperçue au fond d'une cave désaffectée de Saint-Germain-des-prés
Juliette Gréco qui, en agitant les mains dans tous les sens, me dit "Ouais" [wèèèèèèèèèèèèè] dans un grand feulement arthritique à sa façon. Après Belphégor, C'est le Retour de la momie.
(Il faut cliquer sur l'image pour la voir plus en détail)
Carnet mondain: mes rencontres pipoles
Recu hier soir par sms, un message de Boris Vian qui me donne un bon tuyau: "La littérature érotique est une source de revenus fructueuse pour tous les jeunes dessinateurs de talent qui peuvent, en illustrant les classiques du genre, gagner très vite et l'argent et la réputation". Merci
(C'est un ami qui m'a donné la citation, je n'ai pas la référence exacte mais c'est authentique)
Carnet mondain: mes rencontres pipoles
Rencontré hier soir au Macumba
Orlando qui s'insurge (avec un fort accent italien et sur l'air de Gigi l'amoroso) "la liberté de la presse... oui, mais pour en faire quoi? Cela fera demain dix-neuf ans, six mois et onze jours que Dalida nous aura quitté. Et personne n'en parle. Evidemment, messieurs les journalistes sont trop occupés par leurs petites élections présidentielles ou leur pseudo guerre du Proche-Orient. Assez de cette presse à sensation; La France fout le camp."
(Il faut cliquer sur l'image pour la voir plus en détails)