Carnet mondain: mes rencontres pipoles

    Croisé hier sur les quais, Marlon Brando qui me demande de lui prêter une chemise parce qu'il a déchiré son tee-shirt en s'engueulant avec sa femme un soir de cuite. On ne peut pas être beau, être l'acteur du siècle et avoir des vêtements propres à se mettre. Il y a une justice.

Comments

[Peter Grimes]

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TROP FORT ! :) Mais pourquoi oncques ne le vis-je ?...

[Coltrane]

En tout cas, sur la fin, Brando ressemblait quand même plus à un tas de saindoux enveloppé dans une chemise hawaïenne qu'à un playboy... Ceci dit, respect total pour l'acteur ( et réalisateur, il a mis en scène un western -La vengeance aux deux visages- qui vaut le détour) et si c'est aussi ton cas, je te conseille vraiment de te jeter sur la nouvelle édition de Apocalypse Now qui contient en bonus l'intégralité de son monologue final ( une vingtaine de minutes stupéfiantes et hallucinantes) et toujours ces quatre mots prononcés de cette voix pétrifiante et sépulcrale qui, à mon humble avis, font partie des plus grands moments de l'histoire du cinéma:
"The Horror! The Horror!" Magistral.

[micmic]

Ouais... Mais ça c'est le maquillage, l'éclairage, tout ça; je suis sûr qu'en fait il était très moche et très con.

[Veurdjinaïe]

Aaah, un tramway nommé désir et sa scène culte ou Marlon apparaît!! On peut dire qu'il est carrément... "mouillif"!